Sur tous les toits du monde

25Juil/19Off

A Bari en entreprise

Il y a peu, j'ai assister à un congrès qui m'a rappelé à quel point les premiers pas pouvaient être rudes. Une collègue nous a en effet rejoints tout récemment et il s'agissait là de son premier séminaire avec nous. Et il y a fait une bévue dont elle risque de rester : quand son tour est venu, il a refusé de participer à l'animation musicale. Du coup, elle s'est faite huer par tout le monde. Ca n'est pas un crime. Mais je peux d'emblée vous dire que ça ne l'est pas. En agissant ainsi, il est passé une étiquette de pète-sec et cela lui collera aux basques. Depuis notre retour, il n'est plus la benjamine de l'étage : c'est la guindée qui ne souhaite pas se mélanger aux autres. Ceux qui sont habitués le savent : il ne faut jamais refuser de participer aux activités. Il vaut mieux tout accepter. Même lorsqu'on ne sait pas faire. Même si on apprécie moyennement. C'est primordial pour bien s'intégrer dans l'ensemble. Celui qui refuse conduit immédiatement négativement. En outre, cela donne aux autres l'impression que la personne s'estime supérieure à aux autres. Un autre truc que j'ai appris : il faut toujours y faire attention à ne pas trop boire. Un jour, j'ai vu un collègue boire plus que de raison, au point qu'il s'est particulièrement distingué. Eh bien, son comportement a sacrément nui à sa réputation. Il faisait un remarquable travail et se donnait à 200%, mais il est resté après ça pour tout le monde le gars qui avait vomi dans la piscine. Sa progression dans l'entreprise a pris fin à compter de ce jour-là. Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que dans un séminaire, les collègues ne sont pas pour autant des amis. On peut se distraire avec eux mais il faut surveiller son image. Parce que lemoindre écart de conduite est perçu, et peut vous desservir dans le cadre du travail. J'ai vu des collègues le payer pendant des années à s'en remettre, suite à un petit écart. Mais bon, quand on connaît les règles, il est possible de profiter pleinement du voyage. J'ai d'ailleurs bien apprécié ce congrès. Il m'a regonflé à bloc.En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste reconnu de voyage entreprise à Bari.

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25Juil/19Off

Les jusqu’au boutistes

Ce lundi matin, les « gilets jaunes » ont bloqué de nombreux points d’entrées de l'agglomération bordelaise, provoquant d’importants bouchons. - Ils expliquent qu’ils se mobilisent non seulement pour protester contre la baisse de leur pouvoir d’achat mais aussi d’importantes injustices sociales. - Ils envisagent d’élargir leurs actions à d’autres endroits stratégiques du territoire et comptent sur un système de relais pour faire perdurer la mobilisation. Bravant le froid, ils sont quelques dizaines de « gilets jaunes » ce lundi matin à bloquer une des voies du pont François Mitterrand à Bordeaux, dans le prolongement du mouvement du 17 novembre. Ils étaient jusqu’à 80 dimanche soir et lundi matin, leur barrage a provoqué 13 kilomètres de bouchons, jusqu’à Mérignac. Quelques bouteilles de jus de fruits et des parts de tartes installées sur le bord d’une glissière font office de petit-déjeuner improvisé pour les manifestants, souvent salués à coups de klaxons par des routiers et des automobilistes sympathisants du mouvement. « On a accepté de lever le blocage sur une voie ce matin, à la demande des policiers, pour laisser passer les véhicules d’urgence, explique un « gilet jaune » de 21 ans qui préfère rester anonyme. On veut se mobiliser dans le respect des personnes ». #19novembre Les forces de l'ordre sont intervenues sur le #PontAquitaine. Les agents de la DIRA ont commencé les opérations de nettoyage de la chaussée dans le sens Paris-Bordeaux suite aux nombreux dégâts causés. Evacuation du pont d’Aquitaine La tension a été plus forte à d'autres endroits comme sur le pont d’Aquitaine. Les forces de l’ordre y ont évacué les manifestants ce lundi matin et annoncent des dégradations matérielles. Au péage de Virsac sur l’A10 sur lequel plusieurs milliers de « gilets jaunes » se sont rassemblés samedi, le blocage a aussi été levé par les policiers et la préfecture annonce que des travaux vont devoir être réalisés entre les échangeurs 38 et 39 a, avant une réouverture. « Malheureusement, on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, commente un manifestant de 21 ans, commerçant et ancien militaire. Il faut aussi rappeler qu’il y a eu des coups de flashball des agents. Je suis contre les dégradations matérielles, bien sûr, et on veut continuer sans faire de dégâts. » Des injustices sociales Sur le point de blocage situé peu avant le pont François Mitterrand, l’ambiance est calme et détendue. Célia, 21 ans, et Clémence, 26 ans, ne sont pas des habituées des manifestations et sont rassérénées par l’ampleur de la mobilisation engagée samedi. « Je ne pensais pas que ce serait suivi à ce point, cela donne du courage », estime Clémence, maman de deux enfants qui vit avec 900 euros par mois. La hausse du prix du carburant n’est qu’un déclencheur du mouvement qui traduit un ras-le-bol plus général. « On est écrasés par les taxes, et après le 5 du mois, on survit plus qu’autre chose », raconte-t-elle. « Moi je suis en logement social et ma taxe d’habitation est de 500 euros contre 380 l’an dernier », ajoute Célia. « Ils augmentent tout alors, ce n’est pas parce que la taxe d’habitation va baisser de 20 euros que cela va changer grand-chose, déplore Clémence. Ils veulent même augmenter la cantine scolaire. » Ces citoyens décrivent une dégradation générale de leur niveau de vie. « Avant l’euro, avec 10.000 francs on vivait bien. Maintenant, avec 1.500 euros, on crève la dalle », se souvient David, fonctionnaire de 45 ans. Beaucoup sont préoccupés par la réforme des retraites. « J’ai envie d’avoir une retraite, lance le jeune « gilet jaune » de 21 ans, et l’âge de départ ne fait que reculer ». Ils partagent le sentiment d’injustices sociales criantes. « On demande un emploi, du personnel dans les hôpitaux, les maisons de retraite, que les politiques révisent les salaires des plus riches et les leurs », lance Florence, 45 ans, au RSA. L'argument écologique invoqué par le gouvernement ne leur paraît pas audible. « L’argument de l’augmentation des matières première, il a bon dos, s’agace David. Pour moins utiliser sa voiture, il faudrait trouver du travail près de son domicile. Il y a des personnes qui font 100 bornes par jour pour toucher le SMIC ». Pour que la mobilisation continue, alors qu’ils sont conscients que le gouvernement mise sur un épuisement progressif du mouvement, ils comptent sur une organisation en relais des « gilets jaunes », sur des points stratégiques du territoire. Au-delà des axes de circulation, ils réfléchissent à bloquer des centres économiques. « On va continuer jusqu’à avoir gain de cause », promet Clémence.

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23Juil/19Off

Pourquoi reprendre la pensée de Voltaire

Cent ans après jour, un homme mourut. Il est mort immortel. Il est parti rempli de nombreuses années, de spectacles, de personnages les plus illustres et de plus craintifs, de la responsabilité de la conscience individuelle bien informée et rectifiée. Il a voyagé maudit et doté, maudit du passé, privilégié par le futur; et ce sont les deux types de beauté exceptionnels de base. Sur le lit mourant, il a, d'une part, les éloges des contemporains et aussi de la postérité; de l'autre, ce triomphe du sifflement et de la haine que l'implacable plus tôt accorde à ceux qui l'ont combattu. Il était plus qu'un homme. il était une époque. Il a expérimenté une fonctionnalité et accompli une quête. Il a fini par être manifestement choisi pour votre activité qu'il a expérimentée dans le testament suprême, ce qui se manifeste de manière notable dans les règles du destin, ainsi que dans les directives légales du plein air. Les quatre-vingt-quatre années de résidence de cette personne couvrent la période entre votre monarchie à son apogée et l'innovation à son aube. En ce moment, Louis XIV régna néanmoins; à sa mort, Louis XVI portait auparavant la couronne; de sorte que son berceau a vu les derniers rayons du soleil du grand trône, avec son cercueil, les premières lueurs du gouffre fantastique. Avant d'aller plus loin, permettons-nous d'arriver à une prise de conscience sur la phrase abysse. Vous trouverez de grands abysses: ce sont les abîmes par lesquels les méchants sont engloutis. Depuis que je me suis coupé personnellement, laissez-moi mon plein réfléchi. Aucun terme imprudent ou malsain ne sera apparent dans cet article. Nous sommes venus ici pour accomplir un acte de société. Nous sommes ici pour aider à affirmer le progrès, à respecter les philosophes pour les avantages de l'approche, à faire remonter au XVIIIe siècle le témoignage du XIXe siècle, à reconnaître les combattants magnanimes et d'excellents serviteurs, à féliciter l'énergie louable des gens. , l'industrie, la recherche scientifique, le vaillant marché à l'avance, le travail difficile pour cimenter la concorde individuelle; en un seul terme, glorifier la quiétude, ce besoin général. La tranquillité est la vertu de la société; la bataille est son crime. Nous sommes bien ici, en ce moment somptueux, dans ces 60 minutes solennelles, pour nous incliner avec précaution devant le règlement moral, ainsi que pour dire dans le monde entier, qui entend la France, ceci: Il y a tout simplement un pouvoir, une conscience à l'appui droits appropriés; il y a simplement une gloire, maître des services de fait. Malgré cela, je continue. Avant la tendance émergente, la structure de la société était la suivante. Dans la fondation, le peuple; Plus haut que les individus, la foi représentée par le clergé; Du domaine de la foi, la justice affichée de la magistrature. Et, à cette durée de la communauté humaine, quels étaient les individus? C'était de l'ignorance. Qu'est-ce que la foi? C'était absolument l'intolérance. Et ce qui était la justice? C'était absolument une injustice. Est-ce que je vais très loin pendant mes paroles? Juge.

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