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31Août/21Off

L’Inde Passe Commande De 36 Avions De Chasse à La France

En visite officielle à Paris, le premier ministre indien, Narendra Modi, a annoncé, vendredi 10 avril, que son pays allait signer plusieurs accords avec des entreprises françaises. Le premier, très attendu, concerne la commande de 36 avions de chasse Rafale, fabriqués par Dassault en France. M. Modi a ajouté que les termes et conditions du contrat n'étaient pas finalisés, « les termes et conditions doivent être négociés ». Le contrat pourrait s'élever à près de 4 milliards d'euros, le prix d'un Rafale à l'export étant estimé à 110 millions d'euros sans les armements. Le gouvernement indien souhaite acquérir « dès que possible » ces 36 Rafale « clé en main » en raison d'un « besoin opérationnel crucial » des forces aériennes indiennes, a souligné le premier ministre indien. Les discussions initiales portaient sur 63 appareils, pour un contrat total de 7,2 milliards d'euros. Outre cette commande « sur étagère » d'appareils fabriqués en France, Paris et New Delhi se sont « engagés » à poursuivre leurs négociations pour la construction d'avions Rafale en Inde. Le Rafale est mort, longue vie au Rafale ? Il a pu se dire lors de récentes rencontres aériennes - peut-être au cours d’un exercice Atlantic Trident entre les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ? F-35A aurait surpris par ses capacités de supériorité aérienne. Le danger du F-35 ? Faut-il s’inquiéter outre-mesure ? A priori : non. Rafale au standard F3R. Dès l’origine du programme, le Rafale est conçu pour pouvoir évoluer facilement tout au long de sa carrière. Même si sa cellule est moins furtive que celle du F-35, la conception du Rafale lui confère des performances (qualités de vol, autonomie, accélération, maniabilité etc.) comparables ou supérieures à celle de son concurrent américain. Néanmoins, le F-35 demeure l’horizon central des forces aériennes européennes. L'Europe danse une valse à quatre temps pour renouveler son aviation de combat. F-35 est suggéré ou proposé comme candidat au remplacement d'avions de combat dans les forces aériennes et aéronavales d'autres nations, à savoir l'Allemagne, la Belgique, l'Espagne, la Finlande, la Pologne et la Suisse.

L’information est donnée par le site français spécialisé sur les questions de défense Opex360, se référant à des documents budgétaires récemment rendus publics. Ces FC-1/JF-17 « Thunder » devraient remplacer une partie des Chengdu J-7 de conception chinoise équipant les forces aériennes nigérianes. A terme, Abuja souhaiterait disposer de 26 unités, afin de pouvoir équiper deux escadrons. Développé conjointement au début des années 2000 par Pakistan Aeronautical Complex (PAC) et Chengdu Aircraft Corporation (CAC), le FC-1/JF-17 ne manque pas d’atouts. Doté d’un moteur Klimov RD-93 d’origine russe et pouvant voler à une altitude de 17 000 mètres à la vitesse maximale de Mach 1,6, cet appareil est censé mettre en œuvre une large variété de munitions. Dans ce cadre, le pays devrait même recevoir bientôt une douzaine d’avions légers d’attaque au sol de type A-29 Super Tucano avec des équipements sophistiqués de ciblage. Ceci, après un ultime feu vert donné par l’administration américaine en décembre dernier. Le choix d’un avion de combat n’est en rien une mince affaire. Un programme d’acquisition peut s’étendre sur plusieurs années, être retardé mainte fois pour plusieurs raisons (politique, financière) avant de pouvoir enfin toucher son but. Preuve en est le choix en début de semaine du Lockheed-Martin F-35A « Lightning II » par la Belgique pour venir remplacer la flotte actuelle de F-16 du même avionneur. Un choix qui fait grincer les dents des pays européens producteurs d’avions. Comment Bruxelles,ce cœur de l’Union Européenne peut-il une nouvelle fois tourner le dos à un élément de la défense européenne pour ouvrir ses bras aux Etats-Unis ? Pour beaucoup dans les capitales européennes, il s’agit-là d’une trahison. Les belges sont-ils des traîtres pour autant ? Le cas belge n’est pas une exception et démontre qu’une fois de plus il n’y a pas de « culture militaire pro-européenne ». Les intérêts de chacun en matière de défense prennent le pas sur les considérations d’une défense européenne unique. Dans le cas de la Belgique, on connaissait depuis le début de la compétition que certains signes prédestinaient une décision en faveur du F-35.

Il s’agissait en fait d’un "9.12B" de base équipé des améliorations apportées au Mig-29SM et du radar N019ME permettant le tir de missiles air air R-77. La Malaisie fit moderniser ses Mig-29B/UB à ce standard et ils devinrent alors des Mig-29N/NUB. Ils emportent des équipements occidentaux (IFF, GPS, Tacan/ILS par exemple). Mig-29BM : version modernisée localement (radar N019P, nouveaux écrans, missiles R-77, Kh-29 et Kh-31, Mirage bombes KAB-500KR) pour les forces aériennes biélorusses. Mig-29M. Le premier vol a eu lieu en 1988 suivi des essais sur porte-avions en 1989. Le programme a été gelé en 1992 suite à la victoire du Su-33 concurrent pour l’équipement de l’aviation navale russe. La version biplace envisagée (le Mig-29KU) n’a pas été développée suite à cet échec. Mais l’Inde, qui a acheté le porte-aéronefs ex-russe Adm. Mig-29SMP : Mig-29 péruviens modernisés avec des éléments du Mig-29SMT (cf. Mig-29OVT : démonstrateur technologique équipé des mêmes systèmes que le Mig-29M1 mais dôté de tuyères à poussée vectorielle. Grâce au GPS intégré, Il est possible de le régler de manière à ce qu’il respecte un cercle de sécurité autour de vous. Avec cette fonction, il ne s’approche jamais au-delà de 8m de vous lors du décollage et de l’atterrissage. Et avec Geo Fence, il ne s’éloigne jamais de plus de 91m de vous. Le contenu du pack. En tant que drone RTF le contenu du pack de la gamme Typhoon est très complet. En conclusion, le Typhoon H a été conçu pour concurrencer le regne de DJI avec son Phantom sur le marché du drone. Pour cette fois, il nous semble que Yuneec a fait tilt avec son Typhoon H. Le produit s’adresse aussi bien aux professionnels qu’aux amateurs. Avec un prix nettement moins élevé que les concurrents, il offre pourtant des prestations égales voire supérieures en termes de performance et de sophistication. Yuneec est désormais un concurrent sérieux qu’il faut suivre sur la marché du drone et nous avons hâte de découvrir son prochain produit.

Un d'entre eux y est détruit. F-16A et F-16B : première version destinée au combat aérien à courte portée seulement. Le F-16A est monoplace et le F-16B est une version biplace d'entraînement. Le premier F-16A a volé en décembre 1976. Le premier F-16A opérationnel a été livré en janvier 1979 au 388th Tactical Fighter Wing à Hill Air Force Base. Leur avionique est limitée, avec un radar Westinghouse AN/APG-66. F-16A/B Block 1 et 5 : appareils fabriqué jusqu'en 1981 pour l'USAF et quatre pays européens (Belgique, Pays-Bas, Norvège et Danemark) qui l'avaient choisi pour remplacer leurs F-104 Starfighter. La plupart des Block 1 et 5 furent portés au Block 10 en 1982 lors du programme Pacer Loft. F-16AM/BM MLU (MLU pour Mid-Life Update, modernisation à mi-vie) : version améliorée du F-16A/B Block 10 fabriquée sous licence en Europe, utilisée par la Belgique, les Pays-Bas, la Norvège, le Danemark, et, dernièrement, le Portugal. La réponse à cette question, et toute l’impulsion derrière le programme F-15X, nous ont été clairement indiquées: le jet est destiné à remplacer directement l’ensemble de la flotte de F-15C/D de l’USAF. Cela n’aurait aucun impact sur la flotte existante de F-15E Strike Eagle ou sur sa mise à niveau prévue qui est en cours. Tyler Rogoway / Un chasseur F-15C de la 173e Fighter Wing revient à son emplacement de stationnement à Kingsley Field à Klamath Falls, connu à l’intérieur de l’USAF comme la «terre des durs à cuire». L’unité est l’unique escadron d’entraînement F-15C/D de l’USAF et elle est réputée pour produire certains des meilleurs pilotes de chasse au monde. ’un an, l’USAF évaluant si elle continuera à améliorer profondément et finalement reconstruire ses forces de F-15C/D ou si elle les remplacera entièrement par des F-16 améliorés. En fait, rien qu’en mai dernier, des rapports ont révélé que l’USAF avait presque officiellement annoncé qu’elle retirerait la flotte de F-15C/D.

Le J-20 sera très probablement accompagné d’une version furtive de mono-réacteur à l’avenir. D’ailleurs des rumeurs circulent depuis quelques temps que l’Institut 611 à Chengdu, concepteur de J-10 et de J-20, est en train de développer un avion de chasse mono-réacteur furtif, en parallèle de ses nombreux projets en cours. A part le J-10B qui va être l’une des stars de cette saison d’Airshow China, deux avions qui étaient déjà présents à Zhuhai en 2014 sont également arrivés sur place ce matin. Le premier est le bombardier régional H-6K. L’avion a un rayon d’action de 3 500 kilomètres et peut être armé avec 6 missiles de croisière A/KD-20 d’une portée d’environ 2 000 kilomètres. Cette année, l’avion de transport chinois Y-20 est arrivé avec la peinture officielle gris noir de l’armée de l’air chinoise, comme les deux premiers appareils qui sont admis au service actif cet été. L’absence de l’immatriculation sur la cellule fait qu’on ignore pour le moment s’il s’agit de l’un des prototypes repeint, ou c’est un nouvel appareil prêt à livrer à la 4ème division de chasse basée à Qionglai.

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25Août/21Off

Modification psychologique pour la thérapie

Les hallucinogènes sont vraiment une classe de drogues psychoactives qui créent des changements psychologiques temporaires qui incluent une perception sensorielle déformée et des états de conscience oniriques. Depuis des siècles, les éléments hallucinogènes sont déjà liés à de puissantes rencontres mystiques ; le Rigveda mentionne un composé végétal appelé Soma, qui, lorsqu'il est consommé, crée des visions étonnantes du ciel. La plupart des chercheurs pensent que la drogue était un hallucinogène, même si l'herbe exacte n'est pas identifiée dans les temps modernes. Les Mystères d'Eleusis, un ancien rituel grec ancien qui a persisté pendant près de 2 000 ans, étaient également centrés sur une boisson, appelée kykeon, qui était capable de produire des revendications modifiées de conscience. Dans les Amériques, les Aztèques utilisaient une variété d'éléments hallucinogènes dans les rituels religieux et sociaux. Dans les années 50 et 60, les hallucinogènes ont fait l'objet d'importantes recherches technologiques. L'étude la plus connue est probablement l'expérience du Grand Vendredi, où 20 étudiants en théologie ont reçu l'hallucinogène psilocybine ou peut-être un placebo lors d'un service de la chapelle du Grand Vendredi. Les étudiants qui ont obtenu de la psilocybine ont déclaré avoir eu des rencontres religieuses intenses. Le lien apparent entre la consommation d'hallucinogènes et la rencontre spirituelle a conduit certains chercheurs à étudier les utilisations possibles des hallucinogènes comme remède à des problèmes psychiatriques tels que la toxicomanie, l'anxiété et la dépression. L'utilisation d'hallucinogènes dans la recherche scientifique s'est accompagnée de leur prolifération au sein de la contre-culture en tant que drogues de loisir. L'utilisation récréative généralisée d'hallucinogènes dans la tradition «hippie» a provoqué une réaction sociale et gouvernementale qui a finalement abouti à la criminalisation de ces drogues dans le cadre de l'action Managed Substances Take de 1970; cette législation a également connu le résultat de contrôler la plupart des études scientifiques concernant les hallucinogènes. Après une longue absence, les hallucinogènes ont commencé à réapparaître dans les études scientifiques à la fin des années 1990. Les nouvelles études, qui ont enquêté sur les utilisations thérapeutiques des hallucinogènes pour un certain nombre de conditions, ont été menées avec une plus grande rigueur méthodologique et se concentrent sur la sécurité individuelle que leurs prédécesseurs dans les années 1960. La plupart des recherches ont été modestes, car les hallucinogènes continuent d'être fermement contrôlés et le gouvernement fédéral américain ne reconnaîtra aucune véritable utilisation des soins de santé et n'offre donc aucun financement pour l'étude. Mais une étude scientifique a généralement caractérisé leurs premiers résultats comme vraiment prometteurs. Par exemple, des recherches sur des patients présentant des problèmes de santé en phase terminale ont révélé que les rencontres magiques induites par la psilocybine produisaient des améliorations plus fortes et plus durables des symptômes de troubles dépressifs et d'anxiété des patients que les remèdes conventionnels. Hallucinogène, composé qui crée des effets mentaux qui sont généralement associés à des phénomènes tels que des buts ou une exaltation religieuse ou à des troubles psychologiques comme la schizophrénie. Les hallucinogènes créent des changements dans la compréhension, la croyance et le sentiment, allant des distorsions des éléments détectés (illusions) à la détection d'éléments là où aucun n'existe réellement (hallucinations). Les hallucinogènes augmentent les signaux sensoriels, mais cela pourrait s'accompagner d'une perte de contrôle de ce qui est vécu. Les médicaments psychopharmacologiques qui ont suscité une attention et une controverse généralisées sont ceux qui créent des aberrations notées dans la conduite ou la compréhension. L'un des plus courants est le diéthylamide à acidité D-lysergique, ou LSD-25, qui était à l'origine produit à partir de l'ergot (Claviceps purpurea), un champignon du seigle et du blé ; la mescaline, le principe énergétique de base du cactus peyotl (Lophophora williamsii), qui se développe dans le sud-ouest de l'U . S. et le Mexique ; et la psilocybine et la psilocine, qui proviennent de champignons spécifiques. D'autres hallucinogènes sont constitués de bufoténine, à l'origine isolée de votre peau de crapaud ; l'harmine, de vos téguments d'une plante herbacée du Centre-Orient et de la Méditerranée ; ainsi que les composés synthétiques méthylènedioxyamphétamine (MDA), méthylènedioxyméthamphétamine (MDMA) et phencyclidine (PCP). Le tétrahydrocannabinol (THC), le composant actif de la marijuana, ou cannabis, obtenu à partir des feuilles et des chemises de plantes du genre Marijuana, peut également être parfois considéré comme un hallucinogène. Traditionnellement, les communautés indigènes de l'hémisphère occidental utilisaient une végétation contenant des éléments psychédéliques. Les champignons frais hallucinogènes du Mexique étaient considérés comme sacrés et étaient appelés « chair de dieu » par les Aztèques, et tout au long du XIXe siècle les Apaches Mescalero du sud-ouest de l'U. S. pratiquait un rite peyotl adopté par de nombreuses tribus des Plaines. Le peyotisme a finalement fusionné avec le christianisme et l'église amérindienne a été formée en 1918 pour sauvegarder le peyotisme en tant que forme de culte. Le désir scientifique pour les hallucinogènes s'est créé lentement. La mescaline a finalement été éloignée du principe énergétique de base du peyotl en 1896. Ce n'est qu'en 1943, lorsque le chimiste suisse Albert Hofmann a involontairement ingéré une préparation synthétique de LSD et a maîtrisé ses résultats psychédéliques, que la quête d'une substance entièrement naturelle responsable de la schizophrénie est devenu répandu. Gordon Wasson, un banquier et mycologue new-yorkais, connu pour avoir prêté attention aux capacités des champignons mexicains en 1953, ainsi que le principe actif s'est rapidement avéré être la psilocybine.

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